
antoine vigne est
un auteur de langue française et professionnel de la culture
il a publié trois romans aux Éditions Bartillat et Courtes et Longues, ainsi que
des ouvrages d’art, d’architecture et des livres pour la jeunesse
il écrit de la poésie, publiée notamment sur ses réseaux, ainsi que des articles
pour différentes magazines, de Connaissance des Arts à l’Architecture
d’Aujourd’hui
il siège au comité directeur de la Fondation Camargo à Cassis et de Boxo
Projects à Joshua Tree en Californie
il accompagne l’association SOS Méditerranée dans son développement
aux États-Unis
né à Paris en 1973 et diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris
il a étudié l’histoire et l’histoire de l’art à la Sorbonne et à l’École du Louvre
il s’installe à New York en 1999 et se consacre d’abord au développement
de projets dans le domaine de l’art contemporain et de l’architecture
dans le cadre de ses missions auprès du Service Culturel de l’Ambassade
de France puis comme associé dans l’entreprise de relations publiques
Blue Medium, il participe à la création ou l’accompagnement de nombreuses
manifestations, expositions, foires, biennales ou publications
dans le même temps, il poursuit ses activités d’écriture auxquelles il choisit
de se consacrer à plein temps à partir de 2011.

les mondes qui se chevauchent
les contradictions inévitables de l’être
la narration et l’amoindrissement de réalité à laquelle elle contribue
la question de la rencontre et sa réalité furtive, évanescente
notre désir/besoin d’inventer des trames qui durent
l’impossible relation avec le temps et ses dimensions élastiques
la sexualité et la religion
la langue qui cache plus qu’elle ne montre
toutes nos blessures intériorisées, calfeutrées, cachées, les murs que nous érigeons
la possibilité de l’espérance tout de même
les inquiétudes et les beautés du monde à venir
la contemplation
la concomitance de l’inertie et de l’élan
l’héritage (épi)génétique de nos angoisses transformées en principes de vie, d’éducation
le rebond
le territoire
la nature dans toutes ses dimensions exubérantes ou minuscules, insaisissables
les villes
l’hyper-urbanité
la science-fiction
la poésie évidemment
la technique et l’intelligence artificielle
l’écho de l’histoire
le cosmos
les évolutions du genre
l’émergence de nouveaux monuments
le #metoo et Black Lives Matter
l’homosexualité évidemment aussi
l’universalisme, ses travers et ses trahisons,
a vie dans toutes ses dimensions rhizomiques
et puis, Duras, Césaire, Camus, de Toledo, Celan, etc.